Archive | février, 2016

La French Tech tisse sa toile à l’international

1 Fév

Le 29 janvier dernier, lors de ses voeux à la French Tech, Emmanuel Macron a annoncé le lancement de 6 nouveaux French Tech Hubs : Montréal, Abidjan, Cape Town, Londres, Barcelone et Hong-Kong. Cela porte à 11 le nombre total de communautés French Tech structurées à l’international. A cette occasion, la French Tech a lancé le portail des French Tech Hubs qui recense l’ensemble de ces communautés : http://hubs.lafrenchtech.com
Selon la mission French Tech, un « French Tech Hub » n’est pas un dispositif public de plus à l’étranger mais vise au contraire, en suscitant, par une labellisation, la fédération des acteurs sous le leadership des entrepreneurs, à renforcer la structuration des programmes d’accompagnement à l’international et à leur apporter un effet de levier en matière de visibilité et de lisibilité à travers la marque French Tech.
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Side, un fonds pour entrepreneurs disruptifs

1 Fév

Une quinzaine d’entrepreneurs français emblématiques viennent de créer un nouveau fonds pour soutenir des start-ups tech et digitales en early-stage : SIDE (Small Investment for Disruptive Entrepreneurs) Capital. C’est une initiative de Renaud Guillerm, fondateur de Videdressing et Business Angel aguerri qui a rassemblé dans SIDE Capital Marc Adamowicz (Happyview), Nicolas d’Audiffret (A little Market), le business angel Jean Bego, Nicolas Brusson (BlaBlaCar), Fabrice Couturier (BPSIs), Charles Egly (Prêt d’Union), Vincent Klingbeil (Ametix ), le business angel Didier KUHN, Olivier Mathiot (PriceMinister), Frédéric Mazella (BlaBlaCar), Gabriel de Montessus (Hipay), Francis Nappez (BlaBlaCar), Thierry Petit (ShowroomPrive.com), Matthieu Rosset (LD&A Jupiter), Alix de Sagazan (AB Tasty), François Soulard (Placeloop), Pierre Tremolieres (Delamaison).
« L’entrepreneur se retrouve souvent seul face à des situations qui ne s’apprennent nulle part. En plus de gérer l’hypercroissance, il doit affronter des problématiques telles que la gouvernance, la structuration des équipes, ou même la prochaine levée de fonds, sans avoir d’expérience dans ces domaines. J’ai créé SIDE pour accompagner le financement, d’une expertise concrète. Les Partners de SIDE sont des entrepreneurs expérimentés qui ont été confrontés à ces problématiques. Nous souhaitons aujourd’hui mettre à profit et partager cette expérience en sélectionnant des start-ups prometteuses de la French Tech pour les accompagner », affirme Renaud Guillerm. Premier deal de SIDE, un investissement de 400 000 euros dans Regaind.

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